Animé par M.Henri CASTETS
Directeur Départemental de la Sécurité Publique.

AL SOL. Lundi dernier Henri Castets, Directeur départemental de la sécurité publique, a rencontré les Commissaires de quartier afin de leur présenter les objectifs, les conditions d'accès, les missions et le statut des "citoyens volontaires"
de la police nationale.

Cette rencontre s'est effectuée dans le cadre de la loi du 5 mars 2007 relative à la prévention de la délinquance. Ce nouveau dispositif, généralisé à l'ensemble du territoire national, était déjà mis en place dans Perpignan par le biais de l'Ordre des Commissaires de quartier (OCQ), organisme séculaire qui a toujours ouvré pour l'intérêt de la commune et de ses habitants.



Contribuer à l'amélioration de la sécurité et de la tranquillité publique fait déjà partie des attributions et des objectifs des commissaires de quartier, tout comme les missions de solidarité, de médiation sociale et de sensibilisation au respect de la loi. Henri Castets a mis en exergue la complémentarité de l'action des Commissaires de quartiers. en matière de sécurité et celle de "citoyen volontaire" de la Police nationale et a invité les membres de l'institution à intégrer le dispositif
pour renforcer l'action policière.

Félix Maroselli, président de l'Ordre des Commissaires de quartier, tient dans ses mains la nouvelle "bible" de ces citoyens volontaires.

La loi du 5 mars 2007 relative à la prévention de la délinquance permet à la police nationale de faire appel à des volontaires bénévoles qui, par leur concours, complètent son action auprès de la population.
Expérimenté dans 26 départements depuis 2006, ce dispositif est maintenant généralisé à l'ensemble du territoire national.

ORDRE DES COMMISSAIRES DE QUARTIER
927 -2007

Cher Commissaire,

Je vous adresse tous mes voeux les plus chaleureux pour cette Nouvelle Année, qu'elle vous apporte Joie, Bonheur, Rayonnement
et Réussite pour tous les projets qui vous sont chers.

Que cette Année 2008 nous donne la force et l'enthousiasme de créer un futur où puisse rayonner notre action en faveur de l'intérêt général
et renforcer la solidarité entre acteurs de terrain, partenaires des Mairies de Quartiers et Annexes Mairie et entre citoyens,
afin de faire avancer la Fraternité dans nos quartiers.

Je vous renouvelle mes très vives félicitations pour l'action que vous menez dans vos secteurs avec beaucoup de dévouement
et de disponibilité et, comme je vous l'ai indiqué lors de l'Assemblée Générale, je suis fière de vous tous, du travail accompli
qui valorise notre Ordre des Commissaires de Quartier.

Ensemble nous continuerons à oeuvrer pour le mieux vivre des habitants de notre cité.

Je vous souhaite de passer un Joyeux Noël en famille, d'excellentes fêtes de fin d'année.
Je vous dis toute mon amicale considération et tout mon dévouement au service de notre Ville.

Marie Claire MAS, la main de fer dans un gant de velours.

Nouvellement élue à la présidence de l'Ordre des commissaires de quartier, l'ancienne secrétaire générale adjointe à la proximité et la sécurité reprend du service. Son objectif : le terrain.
Avec elle, pas de voie détournée. C'est une fonceuse qui ne se départit jamais de son célèbre sourire.

Photo jm.Artozoul

A 66 ans, Marie-Claire Mas, qui a passé 45 années de sa vie professionnelle à la mairie de Perpignan en tant que fidèle et dévouée collaboratri-ce de Paul puis de Jean-Paul Al-duy, reprend du service.
Le 30 juin dernier, elle partait, le cœur gros, à la retraite. Aujourd'hui, nommée par le maire-sénateur à la tête de l'Ordre des commissaires de quartier en remplacement de Robert Marty démissionnaire, elle a pour objectif de revaloriser le statut et la fonction des commissaires de quartier et, en tant que femme d'action et de décision, d'aller le plus souvent possible avec eux sur le terrain.
A la rencontre des Perpignanais qu'elle affectionne tant Marie-Claire Mas, on vous connaît en tant que femme d'influence et intrinsèquement liée à ce que d'aucuns nomment "le` système Alduy" du fait de votre présence aux côtés de Paul Alduy durant 32 ans. Avec le recul que vous avez aujourd'hui, pouvez-nous nous dévoiler les clés de ce système.?
Vous savez, j'ai toujours été une fonctionnaire. J'avais une forma-tion de secrétaire et on m'a proposé un stage.
Un jour, un homme qui s'appelait Paul Alduy, avec lequel je travaillais et qui était maire de Perpignan, m'a fait entrer à son cabinet alors qu'il était député. J'ai ensuite intégré l'administra-tion et gravi peu à peu des échelons. Mais je serai bien incapable de vous expliquer les arcanes de ce que vous appelez le "systè-me Alduy" ! A ma connaissance il n'existe pas. Il s'agit simplement de la politique appliquée scrupuleu-sement par un homme qui était un perfectionniste, un jusqu'au boutiste et surtout un gros travailleur.
Avec son épouse Jacqueline (qui nous a formés) ils imposaient à tous leurs collaborateurs un rythme intense.
On dit également de vous que vous êtes dans "le secret des dieux", au courant de certains dossiers... Qu'en est-il exactement ?
(Surprise) On m'accorde une tel-le importance ? J'étais avant tout la garante d'un service public neutre pour mettre en œuvre faction publique décidée par les élus. Ce-pendant, je sais, bien sûr, qu'il existait des affaires délicates, des dossiers un peu brûlants et
j'ai été, c'est vrai, témoin de certains événements.
Lesquels par exemple ?
La privatisation des services ou l'affaire Jacques Farran... Mon rôle essentiel a été, je le répète, d'être sans cesse aux côtés de Paul Alduy pour le bon fonctionne-ment de l'administration et pour l'aider au mieux dans cette tâche. J'avais pour lui et là ce n'est un secret pour personne- une im-mense admiration, une reconnaissance sans borne et, je dois l'avouer, une vraie affection.
Une dernière question d'or-dre politique avant d'aborder le volet "commissaires de quartier". Dans les milieux autorisés, il se murmure que vous pourriez devenir la suppléante de Daniel Mach dans sa circonscription. Info ou intox ?
(Grand éclat de rire). Suppléante de Daniel Mach, vous plaisantez ? C'est bien la première fois que j'entends ça.
C'est plutôt amusant, mais entièrement faux!

Revenons donc, Marie-Claire Mas, à votre nomination à la présidence de l’ordre.
Dans quel état d'esprit abordez-vous cette nouvelle mission ?

Photo jm.Artozoul
Jean-Paul Alduy m'a confié ces hautes responsabilités parce qu'il m'a vue à l’œuvre sur le terrain pendant les six années durant lesquelles j'étais affectée à la proximité et à la sécurité.
Le terrain je connais et j'aime le contact avec les habitants, deux "qualités" qui ont été, je pense, déterminantes à la fois dans son choix et dans mon acceptation.
Avez-vous constitué votre équipe au sein de cette nouvelle structure ?
C'est encore un peu prématuré.
Pour le moment, je dialogue avec l'ensemble des commissaires de quartier que je reçois individuelle-ment en entretien tous les jours, à raison de quatre par jour pendant une heure chacun !. J'en connais déjà beaucoup parmi eux, mais d'autres visages me sont moins familiers.
Que ressort-il de ces entretiens ?
J'écoute, j'observe, je prends des notes. Chacun exprime ses souhaits, ses motivations, m'expose ses doléances et ses compétences.
Quels sont vos objectifs ?
Que ces médiateurs s'investissent si possible davantage, se mobili-sent, s'impliquent à fond dans la vie locale, dans leur secteur d'acti-vité et que le dialogue se renoue avec la population via les mairies de quartier, les annexes. J'ai constaté que la plupart des habitants ne savaient pas que les commissaires de quartier existaient. Mon but est aussi de lancer une vaste campagne de communication dans ce sens.
Concrètement, comment cela va-t-il se présenter ?
Il faut passer par l'espace public, se montrer, poser des questions, observer, se faire connaître des riverains.

II faut rencontrer des vec-teurs de l'information, des relais précieux tels que les commerçants de proximité, les enseignants, les fonctionnaires de polices, les concierges, les médecins et même le curé ! Moi-même je vais renouer avec le terrain, les accompagner
in situ pour faire remonter à la municipalité les dysfonc-tionnements ou les problèmes de quartier rencontrés au quotidien.
Quel est le prochain rendez-vous de la présidente Mas inscrit sur vos tablettes ?

Le 14 novembre à 18 h à la salle Al Sol pour une 1e réunion en interne avec tous les commissaires de quartier
du Haut, Moyen et Bas-Vernet".

Interview de Valérie Pons

RISQUE D’INONDATION SUR LA VILLE

Relayer l'alerte auprès des Perpignanais en complément des circuits réalisés par les véhicules de la police municipale équipés de mégaphones.
Quand devez-vous intervenir ?
A la demande de la police municipale qui doit nous contacter
 Ce que l'on attend de vous :
utilisez les mégaphones distribués par les services techniques et/ou stockés dans les mairies annexes, afin de diffuser à la population environnante le message élaboré par la cellule de crise (confirmé par téléphone) ;
répercutez l'alerte aux personnes malentendantes que vous connaissez ;
signalez aux pompiers l'adresse des personnes à mobilité réduite que vous connaissez ; signalez toute information sur la situation en cours à la cellule de crise : Y 04 68 66 30 66 ;
en situation de post-crise, transmettez aux mairies annexes les besoins connus des personnes sinistrées.

 Utilisation des mégaphones :

insérez les piles dans l'appareil.
pour parler, enclencher le bouton du micro.
sortir dans la rue et répéter lentement le message en vous arrêtant tous les 20 mètres, afin que l'ensemble des habitants puisse entendre le message dans son intégralité.

Message à diffuser :

Une inondation est en cours, veuillez respecter les consignes suivantes restez chez vous, gagnez les étages ; écoutez radio France Bleu Roussillon sur 101.6 ou 102.8 FM ; respectez les consignes des autorités officielles.

Lorsqu’en 1996 Jean Paul ALDUY m’appela pour me confier la Présidence de l’Ordre des Commissaires de Quartier, je connaissais (puisque étant commissaire depuis février 1979) la situation de l’Ordre :

- aucune structure,
- 0 réunion en dehors des Assemblées Générales,
- 0 commission,
- Bref, tout était à refaire.

C’était un challenge que me proposait le Grand Maître et j’ai accepté.

Premier objectif :

- Dépoussiérer l’Ordre,
- Le moderniser,
- Le rendre le plus efficace.

Je me suis donc attelé à former le bureau de l’Ordre avec des commissaires qui adhéraient à mon projet et qui ont donné toute leur énergie à le faire aboutir.

Nous avons bousculé les habitudes et bien sûr nous avons soulevé la tempête de quelques contestataires nostalgiques du temps passé car je le répète aucune structure n’existait, mais chacun croyait diriger

En ce qui concerne l’organisation générale 3 axes important ont été mis en place avec à leur tête, un chargé de mission , de sécurité, de cadre de vie – environnement et de social.

- Partage de la ville en secteur avec un délégué de secteur pour chacun,
- Création de carnets de rapport,
- Réveil de l’Amicale Conseil des Commissaires de Quartier qui je le rappelle gère les finances de l’Ordre,
- Nomination d’un coordinateur général de l’amicale pour une durée de un an. Celui-ci gérant à sa guise les manifestations de celles-ci permettant matériellement d’apporter une aide à quelques associations caritatives.
- Nous avons instauré des visites de quartier afin d’être au plus près de la population,
- Nous avons demandé et obtenu auprès des instances officielles que notre porte drapeau participe à toutes les cérémonies militaires et civiles,
- Un service de communication à également été installé depuis 1998. Soit 20. (interview télévisée et radio et 289 passages dans la presse,
- Des pin’s boutonnières ont été crées,
- Des cartes de visites pour chaque Commissaire,
- Renouveler le principe de l’information officielle à Monsieur le Préfet lors de la nomination d’un Commissaire.

En ce qui concerne les finances celles-ci sont tenues sur informatique de même que la liste des commissaires de quartier.

Les comptes sont supervisés chaque année par 2 Commissaires au Comptes en vue du quitus lors de l’Assemblée Générale de l’Amicale qui se tient une fois par an.

- installation d’un superbe site Internet mis à jour régulièrement par Jean Michel MANYA.
Ce site accueille chaque jour 35 visites.
- Création du conseil des sages,
- Mise en place des triptyques avec la liste complète des Commissaires de Quartier,
- Création de la charte des Commissaires ainsi que du règlement intérieur,
- Création d’un presse – book,

Mais tous acte ne pouvait fonctionner qu’avec la participation active de l’ensemble des Commissaires de Quartier. A cet effet, chaque commissaire chargé de mission proposait une réunion mensuelle avec la présence d’intervenants.

Les délégués de secteur ont fait chacun 2 réunions annuelles et le bureau se réuni une fois par mois.

- Nous avons également missionné Guillaume FONBONNE de la faculté et des lettres et sciences humaines de Perpignan pour présentation d’une thèse sur les Commissaires de Quartier, ainsi que Monsieur Yves HOFFMANN qui conclue : Tout est dans le traitement psychologique de la mission des commissaires de quartier qui demande à la fois la confiance du magistrat municipale et beaucoup de désintéressement et de dévouement de la part du corps des commissaire.
- Et pour conclure « je saisi très bien l’intérêt que peut représenter pour le maire en place l’existence de ce corps d’intermédiaire dévoué envers lui et la population, mais je m’interroge dans le présent de l’évolution des mœurs de l’électeur et l’importance considérable et la multiplicité des services du corps administratif sur l’opportunité actuelle de l’existence des Commissaire de quartier.

La preuve et que sur les problèmes concernant tel ou tel secteur de la ville, le Maire a de plus en plus l’habitude d’organiser des réunions d’étude qui le mette directement au contact des électeur et a l’écoute de leurs doléance. »

Bien vu.

En effet, sur le numéro de Trait d’Union j’écrivais : « la vitalité c’est surtout la capacité d’étonner, de démontrer notre savoir faire » et sur le numéro 3 je notais encore « à l’avenir, il me paraît évident de redéfinir les missions d’interventions afin de pousser vers le haut notre ordre et d’attirer de nouvelles vocations ; ce n’est qu’a ces conditions que nous développerons et affirmerons notre existence, et nous ne parviendrons a un résultat tangible qu’avec l’aide du maire de perpignan
Voila, je tenais à faire ce condensé du travail accompli.

Si j’ai essayé d’établir ce condensé forcement incomplet c’est pour rendre hommage à tous les Commissaires, membres proches du bureau , des responsables ainsi qu’a tous ceux qui ont donné de leurs temps et souvent de leurs argent afin d’accomplir leurs missions.
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J’ai donc fait part avant-hier matin à monsieur le Maire Grand Maître de l’ordre des commissaires de quartier ainsi qu’hier lors d’une réunion de mes amis du bureau de ma décision de proposer ma démission à la présidence de l’Ordre des Commissaires de Quartier.

Néanmoins, je me permets avant de conclure de vous faire part de ma réflexion personnelle : « j’ai assumé, je crois la mission qui m’a été confier par Jean Paul ALDUY et je suis convaincu que pour que l’évolution du fonctionnement de l’ordre perdure, celle-ci doit se faire avec la participation du Maire de la ville de Perpignan en parfaite symbiose avec le Président de l’Ordre.

Il appartient a celui-ci de transmettre la marche à suivre à l’ensemble des commissaires.

Autrement dit : il faut que l’ensemble de ceux-ci soit directement concerné afin d’éviter des délégations de groupes restreint non représentatif de l’ensemble étant de surcroît anarchique et incapable de projet de comportement constructif.
Canet, Saleilles et d’autres villages ayant compris l’importance de représentant auprès de la population, n’ont pas manqué de prendre exemples sur le travail des Commissaires de Quartier de la ville de Perpignan.

Je souhaite que la voix de la sagesse permette de travailler dans une grande sérénité.

Bien en tendu ma fidélité et mon amitié envers Jean Paul ALDUY n’est en rien altérée et lui est totalement acquise.

Je reste à sa disposition.

Perpignan, le 14/06/2006

Le président de l'Ordre, les commissaires de Quartier ont le regret de vous faire part du décès de :

PIERRE GRAU
Commissaire de Quartier secteur Gare

De nombreux Commissaires de Quartier avec le porte drapeau de l'ordre ( Jean Pierre Nauté)
étaient présent , et ont présenté à la famille leurs sincères condoléances.

LUNDI 30 MAI
Réunion des Commissaires de Quartier avec Jean Paul ALDUY

Suite aux émeutes du centre ville

Réunion des Commissaires du Vernet Mai

Réunion avec Mr Vincent BASCOU
de la Direction de l'Urbanisme Opérationnel de l'habitat et de la Sécurité
sur :
le PLAN COMMUNAL DE SAUVEGARDE,
( Inondation, Relais d'Alerte.)

LE VERMET. Ce ne sont pas à proprement parler des scénarios-catastrophe, mais plutôt des mises au point. Que se passerait-il dans les zones inondables du quartier, si, un jour, une crue venait subitement envahir les rues ? C'est pour apporter des éléments de réponse aux commissaires de quartier, liens de transition immédiate entre la population et les autorités, que Vincent Bascou -un ingénieur spécialiste au second bureau d'études BRL, chargé d'étudier les flux de la Têt-, est venu donner récemment une petite conférence à la mairie des quartiers nord dans le cadre du plan communal de sauvegarde.
Dans cette démonstration orale aidée d'un support vidéo, il a été secondé par Adeline Nigoul,
prestataire de service.
Plusieurs cas de figure
A la fois résidents et acteurs de première ligne sur le, terrain, les commissaires de quartier vernétois sont les mieux placés pour alerter habitants et voisins en cas d'inondation. Certes, à moins d'un gros caprice de la nature, l'hypothèse d'un âiguat de 1940 du IIIe millénaire reste hautement improbable. A noter qu'il y a plus de 60 ans, le niveau de l'eau avait quand même dépassé les 2 mètres !
Nos aînés s'en souviennent encore...
En revanche, hormis une crue de type cinquantenale ou centenale, plusieurs autres possibilités, comme les énonce l'ingénieur qui planche sur le dossier depuis le mois de septembre dernier, peuvent se présenter et être tout à fait envisageables. "La Têt qui sort de son lit, un ruissellement phwial faisant déborder les canaux, un accident de transport fluvial (marchandises dangereuses), une tempête de neige particulièrement abondante, un séisme, un mouvement de terrain ou la rupture du barrage de Vinça, par exemple, peuvent intervenir et provoquer une dévastation au cours de laquelle les habitants vivant au rez-de-chaussée seraient les premiers concernés" explique-t-il. "n faudraitalors impérativement déclencher un plan d'alerte générale entraînant la mise en place d'une cellule de crise". Ses riverains savent pertinemment que le nord de la Têt est une zone particulièrement exposée.
D'où la nécessaire entente, pour la gestion des inondations, entre les élus, les services communaux, les relais citoyens, les forces de police et de sécurité civile. " Il faudra d'emblée délimiter un secteur de ravitaillemalt, voire un périmètre médical si l'hôpital est touillé et inopérationnel en cas d'urgence" poursuit Vincent Bascou. "Ce qui importe, c'est la sécurisation des personnes. Vient ensuite celle des biens et en 3 position de l'environnement.
Le principal c'est la vitesse de réaction ". C'est là où interviennent les commissaires de quartier. A chacun d'entre eux va être distribué un mégaphone ainsi qu'une provision de piles pour qu'ils puissent, dans des délais très brefs, ameuter les gens.
Autres recommandations : grim per aux étages s'il y en a, écouterr sa radio 24 h / 24 h, respecter les consignes données, emporter ses médicaments avec soi.

REUNION COMMISSION DE SECURITE MAI

Le procureur de la République, Jean-Pierre Drénot, a amicalement accueilli dans ses murs
les commissaires de quartier,

Isidore Rigole en tête qui s'est fait le porte-parole de ses confrères
en tant que responsable de la commission sécurité.
Dans l'avenir, un étroit rapprochement entre la justice et les commissaires de quartier va se faire, notamment en ce qui concerne la remontée des problèmes des quartiers dits sensibles.

REUNION COMMISSION DE SECURITE AVRIL

Lundi, les commissaires de quartiers étaient réunis pour découvrir leurs nouvelles prérogatives, présentées par Gilbert Pascual., chargé de mission pour la prévention et la sécurité.
Dans le cadre du PNRU (plan national de réorganisation urbaine), ces derniers auront pour mission d'effectuer le diagnostic des sites concernés par ce plan national à hauteur de 220 millions d'euros sur cinq ans maximum.
Ciblé sur des quartiers présentant de nombreuses habitations à réaménager ou reconstruire.
Les sites visés concernent les quartiers Baléares, Majorque, St Jacques, La Réal, St Matthieu, Torcatis, Roudayre, Clodion, Peyrestortes et Vernet-Salanque.
Dans ce diagnostic, il sera surtout question de sécurité et d'information
auprès des habitants de ces quartiers.

Réunion Sécurité du Vernet avec la Police Nationale

du 15 Avril

Réunion Sécurité avec la Police Municipale

du 31 Mars

Réunion Social avec l'association ALZHERMER

Une 1° pour les commissaires de quartier reçus au siège de l'association France-Alzheimer et conviés à visiter les locaux Le Grand Platane. Cette structure, unique dans les P: O., a pour but l'accueil thérapeutique de jour de malades atteints par la maladie d'Alzheimer ou maladies apparentées. Le président, G. Le Rochais, insiste sur le rôle de relais que peuvent jouer les commissaires auprès de la population en termes d'information et de sensibilisation.

VERNET

La sécurité au quotidien concerne les commissaires de quartier.
Ces derniers ont organisé une réunion et étaient représentés par M. Rigole, responsable de la commission de sécurité, et M. Manya, délégué de secteur.
Ils étaient entourés par M. Bec, police municipale, et M. Pascual, chargé de mission, venu présenter la nouvelle organisation.
Un gros travail de proximité et d'entraide est fait, d'où l'efficacité des résultats.
Photos J. - M Artozoul

SAINT-JACQUES.
On les connaît - parfois , de vue, mais leur fonction demeure assez floue dans l'esprit des gens. Les com-missaires de quartier sont les arbi-tres de proximité des conflits de voisinage, et les précieux auxiliai-res du pouvoir municipal,, sortes de Grandes Oreilles de la ville de-puis plus d'un millénaire. Ces hommes et ces femmes, ré-partis dans toute la ville parce qu'avant tout citoyens et citadins de premier ordre, sont bénévoles. Depuis quelques années, ils ont été investis de missions un peu plus ciblées, qui touchent à la fois le social, la sécurité, l'environne-ment... Ainsi, furent créées, au sein de l'Ordre des commissaires de quartier, les commissions.
Cel-le de la Sécurité est dirigée par Isi-dore Rigole et se compose de 25 membres. Un voisin trop bruyant, un molosse agressif ou enfermé dans un appartement, des ordures abandonnées sur la voie publique, des épaves de voi-ture sur la chaussée, des invecti-ves ou des insultes à l'encontre d'un passant : autant de nuisan-ces qui, à Perpignan, peuvent être résolues rapidement en faisant ap-pel à ces personnes bénévoles dont le domicile est reconnaissa-ble grâce à l'écusson tricolore -
Ville de Perpignan - apposé sur la porte d'entrée ou à côté de la boîte à lettres. Toutes les quinzai-nes, Isidore Rigole se rend, avec un enquêteur de la police munici-pale, dans un quartier donné pour prendre contact avec les commissaires responsables du sec-teur et y régler les problèmes ren-contrés. Les commissaires de quartier ont pour prérogatives d'écouter, d'alerter et, si besoin est, d'intervenir avec l'aide de la police si le fauteur de trouble se montre récalcitrant.

Faits et méfaits... Hier, dans le quartier Saint-Jacques, nous avons rencontré Isidore Rigole, entouré de Christophe Bec, (l'un des deux enquêteurs de la police municipale avec M. Gomez), d'Angèle Hernandez et d'Albert Danot, commissaires de quartier. Ces derniers ont rendu compte à leur directeur des faits (et mé-faits) qui se sont récemment pas-sés dans le secteur et lui ont sou-mis leurs doléances.
Certes, la -mauvaise- réputation de Saint- Jacques est connue de tous et quels que soient les efforts, louables, des uns et des autres, il traîne cette image de quartier mal famé, pas sûr, difficile en un mot. Angèle Hemandez a donc évo-qué quelques points noirs, à com-mencer par ce mystérieux "gang des poubelles", qui a déjà volé les roues de cinq containers !
"On se doute que ce sont des jeu-nes, mais allez savoir à quel usage ils destinent ensuite ces roues !" a souligné Angèle.
Elle a aussi parlé des difficultés de travail du cabinet des infir-miers, installé au cœur du quar-tier, qui subit, au quotidien, "allu-sions douteuses, tags, gestes d'inci-vilité etc' et... Avalanche de PV ! Furent enfin évoqués - et Christo-phe Bec en a pris note - les véhi-cules détériorés dans les parkings, les agressions verbales à répétition... Banalité ou fatalité

RUE FOCH.

La Commission sociale des commissaires de quartier s'est réunie pour faire le point sur les divers quartiers. Claude Iché en a profité pour tracer le bilan de l'action menée.

Il a énoncé les chiffres suivants : 20 dossiers traitant de problèmes liés aux personnes âgées ; 6 relatifs aux emplacements et parkings pour handicapés ; 10 de cas d'enfants maltraités ! 14 problèmes de voisinage; 10 de toxicomanie.

A noter que les 23 membres de la commission sont répartis sur 14 quartiers de la ville. La réussite des commissaires de quartier est basée sur les relations de confiance et de proximité qu'ils entretiennent avec la population.

Réunion Interne des Commissaires du Vernet des trois Secteurs 08/02/2005 .

Réunion des membres du Bureau dans les nouveaux locaux de la police municipale

Les futurs locaux de la police municipale qui ouvriront, sur 1200 m2 le 15 septembre, ont été visités récemment par
les Commissaires de Quartier responsables de la Sécurité.

COMPTE RENDU DE LA VISITE D'INFORMATION
DES LOCAUX ET SERVICES DE LA POLICE MUNICIPALE
DE LA COMMISSION "SECURITÉ"
DE L'ORDRE DES COMMISSAIRES DE QUARTIER
LE LUNDI 28 JUIN 2004
Le Lundi 28 Juin 2004 à 9 H 15, La Commission de Sécurité de l'Ordre des Commissaires de Quartier animée par son Chargé de Mission Monsieur Isidore RIGOLE a été reçue par les services de la Police Municipale, sous la Direction de Monsieur Gilbert PASCUAL Chargé de Mission Sécurité de la Ville de Perpignan accompagné de son Adjoint Monsieur GOMEZ.
Le rassemblement des Commissaires de Quartier était prévu à l'heure indiquée devant l'entrée de la Mairie ; 14 Commissaires étaient présents.

9 H 15 : Le Commissaire Gilbert PASCUAL souhaite la Bienvenue aux participants et la visite commence.

En premier lieu, nous avons visité la salle du P.C. située sous le porche de la Mairie, et le Commissaire nous a expliqué les différents fonctionne vents de ce P.C. notamment le contact permanent avec les différentes patrouilles, on a pu noter au passage que pour avoir les secours immédiats de la Police Municipale, il faut composer le Numéro 30-70 ce qui correspond au Numéro 17 de la Police Nationale.

La visite du P.C. terminée, nous avons pris place dans différents véhicules (fourgon de Police + 2 véhicules personnels) - Destination : les locaux de la Police Municipale implantés sur le terrain de la Pépinière derrière le Commissariat Central de Police.

Dans ces locaux nous avons pu visiter les différents services (interventions, administration, matériel, armurerie, jusqu'au service de Télé-alarme pour personnes âgées). Tous ces services sont sous la Direction du Commissaire Gilbert PASCUAL, et les différents services animés par des agents de Mairie.

Après avoir visité tous ces services qui nous ont particulièrement intéressés, nous avons repris les véhicules et nous nous sommes rendus dans les locaux en cours de rénovation pour la Police Municipale, locaux qui jouxtent les abattoirs Av. Dr. Louis Torreilles.

Nous avons pu visiter ces nouveaux locaux qui permettront aux services de Police Municipale de se décentraliser et de travailler avec beaucoup plus de facilité vu l'importance des lieux.

La visite des nouvelles structures de la Police Municipale s'est terminée à 11 H 30, heure à laquelle nous avons été remerciés par Monsieur le Commissaire Gilbert PASCUAL et le Chargé de Mission de la Commission Sécurité Monsieur Isidore RIGOLE.

Réunion des Commissaires du VERNET

Secteur 112 : 113 : 114

Réunion de la Cobas

"Des distinctions bien méritées

L'Association autonome pour la défense des locataires des cités Clodion, Torcatis, Roudayre, se réjouit des distinctions qui ont été remises par la Société d'encouragement au bien à Roland Commandre, commissaire de quartier du Bas-Vernet, qui a reçu la médaille d'argent. Bien connues dans nos quartiers pour leur dévouement au service de la collectivité, ces personnes ont reçu des mains de leurs parrains, Joseph Callis, président de l'association, et Nicole Gaspon, première vice-présidente et conseillère générale du canton Bas-Vernet médaillés et diplômés de la Société d'encouragement au bien. Félicitations .

REMISE DES INSIGNES DE CHEVALIER DE L'ORDRE NATIONAL DU MERITE
A JEAN PIERRE NAUTE
LE JEUDI 17 OCTOBRE 2002

Le Moulin à Vent a rendu hommage, samedi, à la personnalité de Jean-Pierre Nauté, élevé à l'ordre de Chevalier de l'Ordre national du mérite par décret du 3 avril 2002.
Déjà titulaire de la Médaille militaire, de la Croix de la valeur militaire avec 2 citations, de la Croix du combattant volontaire avec barrette Algérie, de la Croix du combattant, de la Médaille commémorative des opérations en Algérie et de la Médaille et titre de reconnaissance de la Nation, Jean-Pierre Nauté totalise 46 années au service de l'aéronautique militaire et civile.

ASSEMBLEE GENERALE

Tout dernièrement, Martine Nauté, directrice départementale de la sécurité publique, a reçu dans les locaux du commissariat central avenue de Grande Bretagne, le groupement des anciens combattants de la police.

Jean-Jacques Debacq, préfet des Pyrénées-Orientales, était également convié.
De même, l'ensemblé des autorités locales n'ont pas manqué d'être représentées à ce rassemblement.

Au cours de cette réception, Jean Dalichoux, commissaire de quartier à Las-Cobas, s'est vu remettre des mains du préfet, la médaille des Anciens combattants.

Cette distinction lui a été attribuée pour les services de maintien de l'ordre, qu'il a effectué pendant la guerre d'Algérie, entre 1954 et 1962.

REMISE DE LA MEDAILLE DE LA VILLE PAR LE MAIRE SENATEUR A NOTRE AMI

ROGER CANTENIS

Au cours de la derniere reunion des comissaires de quartier, tenue par le sénateur-maire Jean-Paul Alduy assisté de Marie-Claire Mas, directeur adjoint des services, des adjoints Marie-Louise Vigué, Pierre Parrat, Gérard Naudo, Marcel Zidani et Morad Oubaya ainsi que Marcel Bataille, la médaille de la Ville de Perpignan a été décernée à Roger Cantenis, coordinateur général de l'Amicale des Commissaires de Mailloles.

     
Il a reçu cette distinction pour son engagement et son dévouement depuis une vingtaine d'années en faveur de la population dans différentes commissions ou associations.
A noter que M. Cantenis avait obtenu, il y a quelques semaines et pour les mêmes motifs, la médaille d'or de la SEAB. Photo Jean-Marie Artozoul

LE JOURNAL TRAIT D'UNION

Vous trouverez ci-joint les instructions qui vous prouveront à quel point votre rôle est très important et, vous avez reçu les nouvelles dispositions plus concises de Monsieur Paul ALDUY (à noter que Monsieur Paul Alduy est actuellement Grand Maître Honoraire de l'ordre et Maire honoraire de la viile de Perpignan).

Ces dispositions ont amené des commentaires dans un article bien documenté de Madame Maryse Lapergue dans un journal Parisien le 11 octobre 1981 :Le Monde.
(A noter que Madame Maryse Lapergue est ce jour Deuxième adjoint à
Monsieur le Maire Jean-Paul Alduy).

Monsieur Paul ALDUY m'ayant donné carte blanche...
Ces nouvelles dispositions ont fait que les instructions du 10 décembre 1824
seront appliquées avec un peu de retard:

En 1970 l'attribution d'un insigne de fonctions dont vous êtes munis avec la carte de Service.

En 1980 la cape Blanche de cérémonie frappée du bouclier Royal Sang et Or avec en son sein le patron de la Ville Saint Jean-Baptiste.

En 1978 le drapeau de France en remplacement de celui qui a disparu lors de la guerre de 70 avec les volontaires Catalans ; dont la marraine est Madame Jacqueline Alduy et le Parrain
Monsieur le Préfet Carrère.

Ce 27 mai 1994 après la présentation du nouveau bureau des Commissaires au nouveau Maire Monsieur Jean-Paul ALDUY lors de notre réunion à la salle du Conseil Municipal ce dernier reconduit nos privilèges et le droit de réunion dans la salle des Consuls actuellement salle d'Honneur ou salle des Mariages avec son vestibule dit salle de "l'avi" ou salle de l'aïeule.

Je vous incite plus que jamais à appliquer la devise ou plutôt notre acte de foi du 16 avril 1982 qui définit, une bonne foi pour toutes, notre position au sein de la Ville.

NOTRE ORDRE QUI A CONNU DES DYNASTIES, DES REGNES, DES EMPIRES, DES
RÉPUBLIQUES, DES ÉTATS ET DE NOUVELLES RÉPUBLIQUES,
À TOUJOURS SURVÉCU CAR IL EST FAIT D'HOMMES LIBRES
DANS LEURS ACTES, DANS LEUR FOI, DANS LEUR DESTIN, TOLÉRANT
ENVERS LES AUTRES, CAR NOUS REPRÉSENTONS TOUTES LES IDÉES POLITIQUES,
LES ANCIENNES, LES NOUVELLES, LES AVANCÉES ET MEME LES FUTURES,
C'EST-À-DIRE DES HOMMES
QUI NE RÉCLAMENT QU'UN PEU PLUS DE JUSTICE AUTOUR D'EUX,
D'HOMMES POUR QUI LE BÉNÉVOLAT EST SACRÉ.

Et pour terminer, j'attire votre attention sur la pensée de Sir Antony EDEN, Premier ministre de sa gracieuse Magesté Britannique, aimait à rappeler en 1939 :

"IL N'Y A PAS DE LIBERTÉ SANS DISCIPLINE, OU BIEN LES HOMMES LIBRES APPRENDRONT À OBÉIR, OU ILS N'AURONT PLUS LA LIBERTÉ D'OBÉIR".